Archive dans 28 février 2019

Le raisin de Madagascar ou le voaloboka

est un fruit éclatant de saveur. C’est un fuit qui pousse en grappe de plusieurs grains qui sont de petites tailles et dont la couleur peut varier du vert au noir C’est un grand allié de la santé cardiovasculaire. Il est aussi une source de plusieurs vitamines et minéraux essentiels au bon fonctionnement de l’organisme.  A Madagascar, le raisin ou voaloboka est un source de fibres, riche en vitamine du groupe B, source de manganèse, riche en antioxydants, réduit les risques d’apparition de cancers. Plusieurs études effectuées chez l’humain ont démontré un effet positif de la consommation de jus de raisin rouge sur la prévention des maladies cardiovasculaires. Parmi les effets observés, notons l’amélioration de la fonction endothéliale (élasticité ou capacité de la paroi des vaisseaux sanguins à se dilater et à se contracter) et l’augmentation de la capacité antioxydante du sang. Dans différentes études, la consommation de jus de raisin amenait aussi une diminution de l’oxydation du cholestérol LDL (« mauvais » cholestérol) et de la formation de caillots sanguins, deux facteurs pouvant contribuer à améliorer la santé cardiovasculaire. La consommation de jus de raisin rouge pourrait également diminuer le mauvais cholestérol et augmenter le « bon » (HDL). Finalement, la consommation de jus de raisin a également été associée à une diminution de la tension artérielle, ce qui a un effet cardioprotecteur. Le raisin ou voaloboka renferme de nombreux flavonoïdes, comme la quercétine, la myricetine, le kaempferol, les catéchines, les épicatéchines, les proanthocyanidines et les anthocyanines. Ces composés phénoliques sont de puissants antioxydants qui permettent de neutraliser les radicaux libres du corps et ainsi, prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de diverses maladies chroniques. Certains flavonoïdes contenus dans le jus de raisin pourraient inhiber l’activité d’un enzyme nécessaire à la survie de cellules cancéreuses. De plus, des recherches in vitro ont montré que plusieurs flavonoïdes du raisin travailleraient en synergie contre les cellules cancéreuses. Son est une excellente source de manganèse pour la femme, mais une bonne source pour l’homme. Les raisins secs sont, quant à eux, une source de manganèse. Le manganèse agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres. Le voaloboka frais sont une source de vitamine B2. La vitamine B2 est aussi connue sous le nom de riboflavine. Tout comme la vitamine B1, elle joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges.

Le navet de Madagascar

Le navet de Madagascar est un légume de la famille des crucifères, de forme bulbeuse et à chair blanche ; ses feuilles sont également comestibles. Il est originaire du bassin méditerranéen mais on retrouve également certaines variétés cultivées ici à Madagascar e depuis des centaines d’années. On les retrouve surtout dans la région de Vakinakaratra. Le Navet de Madagascar est source de fibres, peu calorique, source de potassium, magnésium, phosphore, protection des cancers, contient des antioxydants.

Lors de sa récolte, le navet est composé de feuilles oblongues et de racines charnues de formes (sphérique, allongée, plate) et de couleurs variées (rose, blanche, noire,…) L’idéal est de nettoyer rapidement les navets et de les consommer crus afin de profiter au maximum de leurs bienfaits. Concernant ses valeurs nutritionnelles, le navet contient de la protéine, lipides, glucides, eau, fibres vitamine C, vitamine B1, vitamine B6, potassium, magnésium, phosphore

 Pour la cote bienfaits du navet, Le navet est source de fibres qui vont stimuler le transit intestinal. Riche en eau et faible en lipides, le navet est peu calorique ce qui lui permet d’être consommer dans le cadre d’une perte de poids. Le navet est source de potassium. Dans l’organisme, le potassium sert à équilibrer le pH du sang et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac, favorisant ainsi la digestion. Le navet est source de magnésium qui participe au développement osseux, à la construction des protéines, aux actions enzymatiques, à la contraction musculaire, à la santé dentaire et au fonctionnement du système immunitaire. Le navet est une source de vitamine C. Le rôle que joue la vitamine C dans l’organisme va au-delà de ses propriétés antioxydantes; elle contribue aussi à la santé des os, des cartilages, des dents et des gencives. De plus, elle protège contre les infections, favorise l’absorption du fer contenu dans les végétaux et accélère la cicatrisation. La richesse du navet en antioxydants permet de prévenir certains cancers, de protéger l’organisme contre le stress oxydatif et les signes du vieillissement. Cru, le navet est une source de cuivre. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres. Malheureusement on trouve peu de variétés de navets à Madagascar. Mais le gout reste unique et on le trouve un peu partout sur l’ile.

Le chou rouge malgache(ou laisoa mena)

Le chou rouge malgache(ou laisoa mena) est un légume feuille de la famille des crucifères, au même titre que ses frères verts ou blancs. C’est une plante vivace originaire d’Europe centrale qui présente de nombreux bienfaits et vertus pour la santé. Nous ne savons pas exactement quand le choux rouges a était introduit à Madagascar mais elle est cultiver un peu partout sur l’ile.

Pendant longtemps, on considéra le chou rouge malgache(ou laisoa mena) comme un excellent pectoral, efficace dans les affections pulmonaires et les bronchites. Le chou cuit, quant à lui, était utilisé pour traiter les inflammations du tube digestif et la cirrhose du foie. Aujourd’hui, les vertus du chou sont reconnues et on pense même qu’il possède une action préventive sur certains cancers. Le chou rouge malgache(ou laisoa mena) est une très bonne source de vitamine C qui contribue au maintien de l’intégrité de la peau, aide à la cicatrisation des plaies, protège les cellules contre le vieillissement prématuré causé par les radicaux libres et facilite les fonctions immunitaires. Le chou rouge malgache(ou laisoa mena) est recommandé dans le traitement des troubles dyspeptiques (brûlures gastriques, hernies hiatales, nausées, régurgitations, dyspepsies hépatobiliaires). Il régularise les fonctions intestinales et calme les douleurs de l’ulcère gastrique, duodénal et les gastrites. Dans les vieux traités de médecine, le jus de chou était d’ailleurs indiqué comme remède dans les affections de l’estomac et de l’intestin. Le chou rouge malgache(ou laisoa mena) est une bonne source de calcium, indispensable à la santé des os, à la contraction musculaire, à la régularisation de la pression artérielle, à la cicatrisation des plaies et à la transmission des influx nerveux. Riche en vitamines et sels minéraux, le chou rouge est salutaire en cas d’anémie. Le chou rouge malgache(ou laisoa mena) présente des vertus antioxydantes et détoxifiantes qui protègent l’organisme contre le vieillissement cellulaire. Riche en vitamine K, le chou rouge a une action bénéfique sur la fluidification du sang. Attention toutefois, le chou rouge est vivement déconseillé aux personnes sous traitement anticoagulant. Avec son apport en potassium, le chou rouge réduit le risque de maladies cardio-vasculaires.le suc de chou rouge se révèle un excellent vermifuge contre les oxyures et les ascaris. Le chou rouge malgache(ou laisoa mena) possède un principe hypoglycémiant bénéfique en cas de diabète. En usage externe, les feuilles de chou cru appliquées en cataplasme aident à la cicatrisation des plaies et soulagent les douleurs rhumatismales et musculaires, les maux de tête, les sciatiques et les articulations douloureuses.

L’aubergine ou le baranjely de Madagascar

L’aubergine ou le baranjely de Madagascar .Grâce à sa texture et à sa saveur, l’aubergine de Madagascar est un des légumes les plus appréciés des personnes qui veulent réduire leur consommation de viande. On en fait des purées qui sont parfaites pour la boîte à lunch. Elle est indispensable à la ratatouille qui se consomme autant froides que chaudes. A la récolte, une aubergine pèse en moyenne 225g. Celles que l’on consomme le plus souvent ont une peau violette brillante et une chair blanche moelleuse. L’aubergine  de Madagascar est riche en antioxydants. La plupart de ces antioxydants se trouvent dans la peau de l’aubergine grâce à sa terre, c’est pourquoi il faut la consommer avec sa peau. Concernant ses valeurs nutritionnelles, l’aubergine de Madagascar est riche en nutriments (Protéines, Lipide, Glucides, Eau, Fibres, Vitamine C, Vitamine B, Vitamine B6, Potassium, Phosphore, Magnésium.

Mais pourquoi faut-il manger l’aubergine ou le baranjely de Madagascar ?

Les antioxydants sont des composés qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ces derniers sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans le développement des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies liées au vieillissement. L’aubergine est considérée comme ayant un potentiel antioxydant élevé et on commence à en analyser les bienfaits potentiels. Les acides phénoliques sont l’une des principales classes d’antioxydants de l’aubergine, dont le plus abondant est l’acide chlorogénique. L’aubergine, particulièrement si sa peau est foncée, est également riche en pigments antioxydants de la catégorie des anthocyanines. L’aubergine crue est une source de manganèse pour l’homme et la femme, tandis que l’aubergine bouillie en est une source pour la femme seulement. Le manganèse agit comme cofacteur de plusieurs enzymes qui facilitent une douzaine de différents processus métaboliques. Il participe également à la prévention des dommages causés par les radicaux libres. L’aubergine de Madagascar est une source de cuivre. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres. L’aubergine de Madagascar bouillie est une source de vitamine B1. Appelée aussi thiamine, la vitamine B1 fait partie d’un coenzyme nécessaire à la production d’énergie principalement à partir des glucides que nous ingérons. Elle participe aussi à la transmission de l’influx nerveux et favorise une croissance normale. L’aubergine bouillie est une source de vitamine B6. Aussi appelée pyridoxine, la vitamine B6 fait partie de coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la synthèse (fabrication) des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle collabore au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.

Mais il ne faut pas ce venter, chaque aubergine n’est pas parfaite. La peau doit être lisse et brillante, les sépales doivent être bien verts et épineux, et adhérer à la peau. Éviter les fruits dont la peau est fripée et dont la couleur est mate et tire sur le brun. La chair risque alors d’être amère, fibreuse et de contenir beaucoup de graines.

Il existe une multitude de variétés d’aubergines à Madagascar  dont la taille varie du petit pois au melon, et la couleur, du blanc au pourpre, en passant par le vert, le jaune et l’orange. Il se pourrait que, dans un proche futur, s’ajoutent à cette riche gamme des fruits venus d’Afrique, où l’on consomme également les feuilles de nombreuses variétés.

Des plats typiquement malagasy

Je vous déjà dit qu’il était difficile de trouver des plats typiquement malagasy à exposer qu’il ne soit pas déjà ? Et bien je le répète encore ! Alors vous comprendrez qu’aujourd’hui nous ne parlerons pas ravitoto au coco ni de manara-molotra et encore moins des divers types de cressons que nous cuisinons tous les jours. Je n’ai pas besoin de vous préciser à quel point la nourriture est importante. La preuve si vous n’aviez pas mangé quelque chose c’est dernier temps vous ne seriez pas là en train de lire cette article. Peut être préfèreriez-vous des articles remplient de recettes pour ravir la famille et vous avez raison. Parce que pourquoi visiter un site culinaire si ce n’est pas pour découvrir des recettes. A moins que vous soyez addict des critiques culinaires ou que vous soyez le genre de personne à lire des blogs juste pour être sûr d’avoir bien faim. En tout cas, vous le savez déjà la cuisine malagasy manque cruellement de chefs cuisinier nouvateur qui aient soif de découvert. Le genre même qui cuisine de nouveau plat pour mettre en valeur la cuisine malagasy. En générale, ceux qui sont dans les cuisines aux quotidiens sont des personnes qui n’ont pas beaucoup de temps pour réfléchir aux plats et faire de la cuisine gastronomique. Non, en générale, ce sont soit des « bonnes » qui ont beaucoup d’autres chose à faire comme le nettoyage ou prendre les enfants après l’école. Dans certains cas, ce sont des mères aux foyers qui ont autant de travail et qui même avec toutes les compétences et la volonté du monde n’auraient pas le temps pour s’occuper de tout en même temps. Beaucoup de chose sont à dire sur les habitudes culinaires des malgaches. Nombreux même ceux qui ne rentrent pas chez eux à midi. A cause des embouteillages, de l’horaire, les adultes autant que les plus jeunes. Dans ce cas, pour voir les habitudes alimentaire de la population malagasy et plus précisement des Tananariviens (puisqu’on est à Antananarivo) il suffit de lire les menus des restaurants de rues. Est-ce peut être un peu exagérer d’appeler cela des restaurants mais en tout cas il y en a partout à la capitale. Partout où vous poserez les yeux vous tomberez à coup sûr sur l’un de ces vendeurs de rues. Ne soyez pas étonner Antananarivo n’est pas la seule ville où des vendeurs ont élus domicile. En fait Madagascar n’est même pas le seul pays où il y ait des vendeurs de rues. On peut s’interroger sur la qualité des produits, de la propreté de la nourriture mise à disposition. On peut même se demander l’impact qu’à ces marchés de l’économie souterraine sur la nation toute entière. On peut y voir la faiblesse et la pauvreté du pays mais on peut aussi voir une force. Car c’est gens se sont adapter à la difficulté de la vie dans ce pays et malheureusement ce n’est pas prêt d’en finir. De nombreux défis nous attendent encore.

l’oignons

Il est assez difficile de trouver des plats spécifiques de notre pays que nous n’avons pas déjà cité dans les articles précédents. Du coup, je me suis dit pourquoi ne pas parler des ingrédients que l’on utilise tous les jours. Je parle aujourd’hui on va parler des oignons. La semaine dernière nous avons déjà parlé des tomates qui sont aussi très importantes dans les cuisines malgaches. Les oignons sont tout aussi importants. « L’oignon est une espèce herbacée, vivace par son bulbe unique, cultivée comme une annuelle ou bisannuelle (floraison la deuxième année). C’est une plante haute de 60 à 100 cm, dont les feuilles de couleur verte sont cylindriques, creuses (ce qui distingue cette espèce du poireau et de l’ail, autres espèces cultivées appartenant aussi au genre Allium). La tige florale dressée est également creuse. Elle présente un renflement vers sa base. » Les oignons sont considérés à la fois comme des condiments mais aussi comme des légumes. Il y a plusieurs moyens de cuisiner les oignons car on peut les manger crus ou cuits. On peut par exemple et c’est la manière la plus facile de la cuisiner c’est en vinaigrette. Je ne vais pas vous expliquer comment on fait une vinaigrette. Mais on peut le mettre au début avec les tomates dans la cuisson des mets. Mais on peut aussi le cuisiner en soupe à l’oignon par exemple. La soupe à l’oignon est faite de pain sec ou de croûton, de bouillon de bœuf (par exemple) et d’oignon caramélisé.

L’oignon est un aliment très important. On ne s’aurait comment cuisiner sans l’oignon. Dans la cuisine malagasy il n’y a beaucoup de plat qui soit composé en grande partie d’oignon ou même essentiellement d’oignon. Malheureusement, la cuisine malgache n’a pas de  « grand cuisinier » qui crée des plats dans l’esprit de la culture malgache. Même si la cuisine malgache n’a pas ( à mon avis) encore les plats qui mettent en valeur cet aliment pourtant très présente. Dans des recettes de pays autre que le nôtre, il y a par exemple des farcis ou encore des tartes à l’oignon. Pour la petite histoire, « L’oignon est connu dès l’Antiquité. Il provient sans doute d’une espèce sauvage d’Asie centrale12. L’oignon était apprécié des Égyptiens, des Grecs, des Gaulois et des Romains et n’a jamais cessé d’être utilisé13. Il fait partie des plantes dont la culture est recommandée dans les domaines royaux par Charlemagne dans le capitulaire De Villis (fin du VIIIe siècle ou début du IXe). Le voyageur, chroniqueur et géographe arabe Ibn Hawqal, ayant visité la Sicile au milieu du Xe siècle, s’étonna de voir la consommation quotidienne immodérée d’oignons crus par les Siciliens, et il écrivit à leur sujet ». Vous pouvez voir plus d’information sur votre site « préféré ». quoi qu’il en soit l’oignon est très important dans la cuisine, mais aussi dans la culture et même dans l’histoire. Je serais incapable de vous expliquer comment les oignons ont pris leur place aux malgaches, mais le fait est là.

la grenadelle Malgache

La grenadelle (Passiflora ligularis), aussi appelée fruit de la passion ou grenadille sucrée ou grenadille douce, est une espèce de plante grimpante appartenant au genre des passiflores. L’épithète

Contre le cancer

Riche en antioxydants, le jus de fruit de la passion peut diminuer la croissance de cellules cancéreuses. Certaines études ont montré qu’il pouvait augmenter l’activité d’une enzyme qui les détruirait.

Fait baisser la tension

Riche en potassium, le fruit de la passion équilibre les taux de sodium dans le corps, diminuant ainsi le risque de pression artérielle, de crise cardiaque et d’AVC.

Allié minceur

Relativement faible en calories, le fruit de la passion est le dessert parfait de vos régimes d’été ! En sorbet, infusion glacée, en coulis ou tout simplement à déguster à la petite cuillère, il ravira vos papilles.

Bon pour les yeux

Riche en antioxydants, en vitamine A et C et en flavonoïdes, le fruit de la passion protège vos yeux fatigués par les écrans de télévision, d’ordinateur et par vos smartphones. Il améliorerait également votre vue.

Bon pour la digestion

Riche en fibres, le fruit de la passion détoxifie l’organisme, améliore la digestion et nettoie le côlon.

Idéal contre les petits coups de mou !

Contre la fatigue, le sommeil et les petits coups de mou, le fruit de la passion et sa forte concentration en vitamines vous apporteront un regain d’énergie !

Contre… l’asthme !

Incroyable mais vrai, une étude américaine a démontré que la consommation de fruits de la passion diminuerait les symptômes de l’asthme. Riche en fibres, son effet détox agirait aussi sur les voies respiratoires.

Confiture fruit de la passion.

Niveau de difficulté : Facile.

Ingrédients : Pour 1 kg de fruits de la passion.

  • 1 kg de fruits de la passion.
  • 800 gr de sucre roux.

Préparation de la recette :

Coupez les fruits de la passion en deux et extrayez la chair. Mettez tout le contenu dans une casserole, pulpe et graines. Verser un verre d’eau, chauffez lentement, Retirez avant ébullition.

Filtrez à travers un tamis à grille fine pour enlever les graines, mettez dans votre bassine à confiture en rajoutant le sucre et portez à ébullition.

Vérifiez au bout des 20 minutes la cuisson en faisant couler un peu de confiture sur une assiette. Elle ne doit pas couler trop vite.

Procédez sans attendre à la mise en pots. couvrez et stérilisez. Pour une meilleure conservation, mettre la confiture en pot lorsqu’elle est encore bouillante, fermer et retourner les pots jusqu’à ce qu’ils refroidissent.

Information sur le fruit de la passion ou grenadille :

Le fruit de la Passion est une baie charnue de forme ovale dont la peau de couleur rouge violette ou jaune se ride en mûrissant. Son poids varie entre 60 et 90 grammes. Sa longueur va de 4 à 7 cm.

La pulpe ou arille juteuse et bien parfumée est très molle de couleur jaunâtre, elle renferme de nombreuses petites graines comestible. Le fruit de la passion peut servir à la fabrication de sorbets, sirops et coulis.

Information sur la confiture :

La confiture est l’art de conserver par le sucre, fruits, légumes, tiges, racines, feuilles ou fleurs que l’on fait cuire afin de les amener à un degré de déshydratation suffisant pour en assurer la conservation. La confection de la confiture conjugue un temps de cuisson qui ne doit être ni trop long ni trop faible et un savant équilibre entre le sucre, les fruits, la pectine, l’acidité et les éventuels ingrédients ajoutés. La cuisson du mélange des fruits et du sucre amène la préparation à un degré de déshydratation suffisant pour en assurer la conservation. Dans le produit final, la teneur en sucre total, déterminée par réfractomètre, doit être égale ou supérieure à 60 %. Cette concentration est également celle qui permet une bonne prise des confitures dans les conditions habituelles de transformation des fruits.

Un jus de citron ajouté en début de cuisson préserve la couleur des fruits en raison de l’acide ascorbique (vitamine C) qu’il contient et qui bloque diverses réactions enzymatiques dont des réactions d’oxydation.

la Pomme a Madagascar

La pomme est l’une des fruits le plus célèbre dans le monde. Pour les chrétiens, la pomme est un fruit du péché que Ève a accueilli, bref tout le monde connais l’histoire …  Madagascar, possède une grande variété de pomme.

La pomme possède de nombreux atouts pour notre santé. Tout d’abord, elle apporte des composés antioxydants (polyphénol, quercetine) qui lutte contre les agressions digestives. Sa teneur en fructose et en sorbitol permet de drainer le foie et le tube digestif. Riche en antioxydants et en pectines (qui ont la faculté de capter les métaux lourds), la pomme est un antiseptique intestinal et un dépuratif hépatique. Les bienfaits de la pomme ne s’arrêtent pas là ! Elle possède également des propriétés alcanisantes, ce qui vous assure un bon équilibre acido-basique. La pomme est anti-cholestérol, anti-diabète, et elle favorise l’équilibre du système nerveux.

La solution que Fitnext vous conseil, pour bénéficier au maximum des bienfaits de la pomme, c’est d’en consommer en dehors des repas. C’est un fruit très équilibré, peu calorique, aux effets coupe-faim qui composera judicieusement votre collation. Puisque les pommes, comme le raisin ou les tomates, sont extrêmement traités dans l’agriculture intensive, préférez-les bios. Ainsi, vous pourrez les consommer crues, avec la peau. Fitnext recommande de manger au moins un fruit frais au petit déjeuner, pour faire le plein de vitamines. Une alternative intéressante peut être le jus de fruits ou jus détox, auquel la pomme s’intègre très bien. Mais attention, à réaliser à la centrifugeuse ! Celle-ci séparera la peau et les fibres du jus, ce qui donne directement l’eau, les minéraux et les vitamines du végétal en question.

pour vous faire plaisir. j’ai trouver une recette de la fameuse tarte au pomme sur Recette, 750g

Ingrédients (6 personnes)

  • 1 pâte brisée
  • 2 ou 3 pommes
  • 300g de compote de pommes
  • 20g de beurre
  • 2 c à s de sucre roux

Ps : Acheter les ingrédients frais !

Matériel

  • Couteau économe / Epluche-légumes / Eplucheur en Y
  • Four traditionnel
  • Moule à tarte

PRÉPARATION

ÉTAPE 1 : Foncez le moule

Préchauffez le four à 200°C.

Disposez la pâte brisée dans un moule à tarte et piquez le fond de tarte avec une fourchette.

Placez l’ensemble au frigo le temps que vous prépariez les pommes.

ÉTAPE 2 : Les pommes

Epluchez les pommes et coupez-les en tranches d’environ 3 mm d’épaisseur.

ÉTAPE 3 : La compote de pommes

Disposez une couche de compote de pommes sur le fond de tarte.

ÉTAPE 4 : Les pommes

Puis disposez les pommes en cercle sur le fond de tarte. Veillez à les disposer joliment.

ÉTAPE 5 : Le beurre

Ajoutez quelques noix de beurre sur les pommes.

ÉTAPE 6 : Le sucre roux

Saupoudrez les pommes de 2 c à s de sucre roux.

ÉTAPE 7 : La cuisson

Enfournez 30 minutes à 200°C.

Dégustez tiède ou froid, accompagnée d’une boule de glace vanille pour les plus gourmands.

Les goyaves

Qui n’a jamais bu un jus de goyave acheté au supermarché du coin ? La goyave peut aussi très bien se manger comme une pomme ! Le gout est juste un peu plus acide. Faites gaffe aux pépins ! Soyez prudent en achetant des goyaves, vérifiez qu’elles sont en bon état, car certaines d’entre elles peuvent cacher des hôtes indésirables …

Quels sont les bienfaits de la goyave ?

La goyave a la capacité d’exterminer les bactéries, les champignons et les amibes qui peuvent se trouver dans l’organisme. Les feuilles de cette plante sont utilisées pour aider à soigner les blessures. Elles ont aussi un grand pouvoir anesthésique au niveau dentaire, et c’est pour cela qu’on les utilise pour soulager grandement les maux de dents.

Les feuilles et l’écorce de l’arbre de goyave ou goyavier sont très efficaces pour préparer des infusions qui stopperont la diarrhée. Cela nous permettra aussi de soulager les maux de gorge, les vertiges, les envies de vomir et différents problèmes intestinaux. De même, cette préparation vous aidera à réguler notre menstruation.

Nombreux sont les bienfaits qu’apporte la goyave à notre santé !

En effet, elle possède une grande quantité de quercétine ! Ce puissant antioxydant a le pouvoir d’empêcher la formation de sorbitol. Le sorbitol est en fait le sucre qui est à l’origine de nuages blancs dans les yeux. C’est ce qu’on appelle la cataracte, une maladie dégénérative qui affecte tout particulièrement les personnes d’un âge avancé.

La goyave possède également de grandes quantités d’acide folique. Il s’agit d’une vitamine B qui nous aide à en finir avec la mauvaise haleine que peut provoquer la gingivite (la maladie des gencives). Cette plante est aussi recommandée pour les femmes enceintes, car elle peut prévenir les malformations du fœtus. Comme vous pouvez le lire, la goyave a un grand nombre de propriétés et de bienfaits pour notre santé. En plus, elle est délicieuse ! Lorsque le fruit est bien mûr, on peut préparer un merveilleux dessert : des bâtonnets de pâte de goyave

Si vous aimez pas manger le goyave frais voys pouvez essayer un confiture de goyave facile a faire

INGRÉDIENTS

  • 1 kg de goyaves Exotic fruit box
  • 500 g de sucre – si les goyaves sont mûres nous pouvons mettre moins de sucre
  • 500 ml d’eau
  • 1 bâton de cannelle
  • 1 cuillère à soupe de jus de citron

PAS À SUIVRE

  • Peler les goyaves.
  • Couper la goyave en deux et enlever les graines. Mettez-les dans une casserole et recouvrez-les d’eau. Ajouter le jus de citron et cuire à feu doux pendant environ 10 minutes.
  • Égoutter les graines en conservant tout le jus de la cuisson. Remettre le jus dans la casserole et ajouter les goyaves pelées avec le bâton de cannelle et le sucre. Si c’est nécessaire, nous pouvons ajouter un peu plus d’eau.
  • Laisser mijoter pendant environ 35 minutes à feu doux. Pendant ce temps, les goyaves deviendront une crème, et changeront de couleur, à orange au lieu de rose. Si c’est nécessaire, nous pouvons les écraser avec un batteur.

le riz, la base alimentaire malgache

Tous les malgaches mangent du riz. Ce n’est pas un stéréotype cela fait partie intégrante de notre culture. C’est notre aliment de base. Nous ne sommes pas les seuls à manger du riz à tous les repas. Les japonais, les Chinois et d’autres peuples du continent asiatique en consomment régulièrement. Cela nous fait déjà un point commun avec les pays avancés ! le riz offre une palette de recette à faire. Déjà il y a plusieurs moyens de le cultiver. Selon les pays, les régions ou l’environnement on peut par exemple le cultiver en escalier. Le riz aussi peut avoir plusieurs formes, tailles, couleurs et donc le riz a plusieurs « espèces » différentes. Et comme il y a différents types de riz, il y a aussi différentes manière de le cuisiner ! On peut les cuisiner de la manière classique en «  vary maina » ou en « vary sosoa ». C’est de ces manière qu’on le cuisine à Madagascar et avec on met généralement du « loka ». Dans la plupart des ménages malgaches se serait du « anana » (des cressons). Dans d’autres cultures, le riz peut se cuisiner en boulette en salade. Les japonais en font des « onigiris » ou même en riz gluant. Le riz est aussi une excellente matière première pour faire de l’alcool : c’est le « saké ». Le riz à cet effet est un aliment intéressant. On a coutume de dire que manger du riz fait de nous des malgaches. Les malgaches mangent du riz. Pourtant le riz n’est pas un aliment complet. Bien qu’il contienne en grande partie du glucide ce qui se prouve par le fait que le riz peut brûler ou plutôt qu’il peut roussir. Le problème est qu’il manque des sels minéraux dont le corps humain a besoin. De plus les vitamines sont quasi inexistantes. De ce fait, le riz ne suffit pas à rassasier et surtout suffire pour boucler une journée de travail. Pour cela les malgaches cuisinent en parallèle ce qu’ils appellent les « loka ». Ce sont justement des mets qui complètent le repas. Dans la majorité des cas on trouve peu de peu de protéine (viande) surtout des minéraux provenant notamment des végétaux. En tout cas, il est clair que ce n’est pas suffisant. Dans les autres pays consommant du riz. Les compléments sont en nombre et en quantité. Le Japon par exemple est le plus grand consommateur de poisson. Dans d’autre pays le riz est accompagné par plusieurs autres mets dans un même repas. Alors que devrait-on faire pour le cas de Madagascar.  Il est clair que nous ne pouvons pas changer notre base alimentaire pour d’autres aliments. Les pâtes ou les patates sont bien intéressant que le riz mais comme nous l’avons dit nous ne pouvons pas modifier une culture qui existe depuis des siècles. Par contre il existe des alternatives peu couteuses et très avantageuses pour les ménages malgaches. Comme des algues ou certains insectes qui sont très nourrissants.