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l’oignons

Il est assez difficile de trouver des plats spécifiques de notre pays que nous n’avons pas déjà cité dans les articles précédents. Du coup, je me suis dit pourquoi ne pas parler des ingrédients que l’on utilise tous les jours. Je parle aujourd’hui on va parler des oignons. La semaine dernière nous avons déjà parlé des tomates qui sont aussi très importantes dans les cuisines malgaches. Les oignons sont tout aussi importants. « L’oignon est une espèce herbacée, vivace par son bulbe unique, cultivée comme une annuelle ou bisannuelle (floraison la deuxième année). C’est une plante haute de 60 à 100 cm, dont les feuilles de couleur verte sont cylindriques, creuses (ce qui distingue cette espèce du poireau et de l’ail, autres espèces cultivées appartenant aussi au genre Allium). La tige florale dressée est également creuse. Elle présente un renflement vers sa base. » Les oignons sont considérés à la fois comme des condiments mais aussi comme des légumes. Il y a plusieurs moyens de cuisiner les oignons car on peut les manger crus ou cuits. On peut par exemple et c’est la manière la plus facile de la cuisiner c’est en vinaigrette. Je ne vais pas vous expliquer comment on fait une vinaigrette. Mais on peut le mettre au début avec les tomates dans la cuisson des mets. Mais on peut aussi le cuisiner en soupe à l’oignon par exemple. La soupe à l’oignon est faite de pain sec ou de croûton, de bouillon de bœuf (par exemple) et d’oignon caramélisé.

L’oignon est un aliment très important. On ne s’aurait comment cuisiner sans l’oignon. Dans la cuisine malagasy il n’y a beaucoup de plat qui soit composé en grande partie d’oignon ou même essentiellement d’oignon. Malheureusement, la cuisine malgache n’a pas de  « grand cuisinier » qui crée des plats dans l’esprit de la culture malgache. Même si la cuisine malgache n’a pas ( à mon avis) encore les plats qui mettent en valeur cet aliment pourtant très présente. Dans des recettes de pays autre que le nôtre, il y a par exemple des farcis ou encore des tartes à l’oignon. Pour la petite histoire, « L’oignon est connu dès l’Antiquité. Il provient sans doute d’une espèce sauvage d’Asie centrale12. L’oignon était apprécié des Égyptiens, des Grecs, des Gaulois et des Romains et n’a jamais cessé d’être utilisé13. Il fait partie des plantes dont la culture est recommandée dans les domaines royaux par Charlemagne dans le capitulaire De Villis (fin du VIIIe siècle ou début du IXe). Le voyageur, chroniqueur et géographe arabe Ibn Hawqal, ayant visité la Sicile au milieu du Xe siècle, s’étonna de voir la consommation quotidienne immodérée d’oignons crus par les Siciliens, et il écrivit à leur sujet ». Vous pouvez voir plus d’information sur votre site « préféré ». quoi qu’il en soit l’oignon est très important dans la cuisine, mais aussi dans la culture et même dans l’histoire. Je serais incapable de vous expliquer comment les oignons ont pris leur place aux malgaches, mais le fait est là.

la grenadelle Malgache

La grenadelle (Passiflora ligularis), aussi appelée fruit de la passion ou grenadille sucrée ou grenadille douce, est une espèce de plante grimpante appartenant au genre des passiflores. L’épithète

Contre le cancer

Riche en antioxydants, le jus de fruit de la passion peut diminuer la croissance de cellules cancéreuses. Certaines études ont montré qu’il pouvait augmenter l’activité d’une enzyme qui les détruirait.

Fait baisser la tension

Riche en potassium, le fruit de la passion équilibre les taux de sodium dans le corps, diminuant ainsi le risque de pression artérielle, de crise cardiaque et d’AVC.

Allié minceur

Relativement faible en calories, le fruit de la passion est le dessert parfait de vos régimes d’été ! En sorbet, infusion glacée, en coulis ou tout simplement à déguster à la petite cuillère, il ravira vos papilles.

Bon pour les yeux

Riche en antioxydants, en vitamine A et C et en flavonoïdes, le fruit de la passion protège vos yeux fatigués par les écrans de télévision, d’ordinateur et par vos smartphones. Il améliorerait également votre vue.

Bon pour la digestion

Riche en fibres, le fruit de la passion détoxifie l’organisme, améliore la digestion et nettoie le côlon.

Idéal contre les petits coups de mou !

Contre la fatigue, le sommeil et les petits coups de mou, le fruit de la passion et sa forte concentration en vitamines vous apporteront un regain d’énergie !

Contre… l’asthme !

Incroyable mais vrai, une étude américaine a démontré que la consommation de fruits de la passion diminuerait les symptômes de l’asthme. Riche en fibres, son effet détox agirait aussi sur les voies respiratoires.

Confiture fruit de la passion.

Niveau de difficulté : Facile.

Ingrédients : Pour 1 kg de fruits de la passion.

  • 1 kg de fruits de la passion.
  • 800 gr de sucre roux.

Préparation de la recette :

Coupez les fruits de la passion en deux et extrayez la chair. Mettez tout le contenu dans une casserole, pulpe et graines. Verser un verre d’eau, chauffez lentement, Retirez avant ébullition.

Filtrez à travers un tamis à grille fine pour enlever les graines, mettez dans votre bassine à confiture en rajoutant le sucre et portez à ébullition.

Vérifiez au bout des 20 minutes la cuisson en faisant couler un peu de confiture sur une assiette. Elle ne doit pas couler trop vite.

Procédez sans attendre à la mise en pots. couvrez et stérilisez. Pour une meilleure conservation, mettre la confiture en pot lorsqu’elle est encore bouillante, fermer et retourner les pots jusqu’à ce qu’ils refroidissent.

Information sur le fruit de la passion ou grenadille :

Le fruit de la Passion est une baie charnue de forme ovale dont la peau de couleur rouge violette ou jaune se ride en mûrissant. Son poids varie entre 60 et 90 grammes. Sa longueur va de 4 à 7 cm.

La pulpe ou arille juteuse et bien parfumée est très molle de couleur jaunâtre, elle renferme de nombreuses petites graines comestible. Le fruit de la passion peut servir à la fabrication de sorbets, sirops et coulis.

Information sur la confiture :

La confiture est l’art de conserver par le sucre, fruits, légumes, tiges, racines, feuilles ou fleurs que l’on fait cuire afin de les amener à un degré de déshydratation suffisant pour en assurer la conservation. La confection de la confiture conjugue un temps de cuisson qui ne doit être ni trop long ni trop faible et un savant équilibre entre le sucre, les fruits, la pectine, l’acidité et les éventuels ingrédients ajoutés. La cuisson du mélange des fruits et du sucre amène la préparation à un degré de déshydratation suffisant pour en assurer la conservation. Dans le produit final, la teneur en sucre total, déterminée par réfractomètre, doit être égale ou supérieure à 60 %. Cette concentration est également celle qui permet une bonne prise des confitures dans les conditions habituelles de transformation des fruits.

Un jus de citron ajouté en début de cuisson préserve la couleur des fruits en raison de l’acide ascorbique (vitamine C) qu’il contient et qui bloque diverses réactions enzymatiques dont des réactions d’oxydation.

la Pomme a Madagascar

La pomme est l’une des fruits le plus célèbre dans le monde. Pour les chrétiens, la pomme est un fruit du péché que Ève a accueilli, bref tout le monde connais l’histoire …  Madagascar, possède une grande variété de pomme.

La pomme possède de nombreux atouts pour notre santé. Tout d’abord, elle apporte des composés antioxydants (polyphénol, quercetine) qui lutte contre les agressions digestives. Sa teneur en fructose et en sorbitol permet de drainer le foie et le tube digestif. Riche en antioxydants et en pectines (qui ont la faculté de capter les métaux lourds), la pomme est un antiseptique intestinal et un dépuratif hépatique. Les bienfaits de la pomme ne s’arrêtent pas là ! Elle possède également des propriétés alcanisantes, ce qui vous assure un bon équilibre acido-basique. La pomme est anti-cholestérol, anti-diabète, et elle favorise l’équilibre du système nerveux.

La solution que Fitnext vous conseil, pour bénéficier au maximum des bienfaits de la pomme, c’est d’en consommer en dehors des repas. C’est un fruit très équilibré, peu calorique, aux effets coupe-faim qui composera judicieusement votre collation. Puisque les pommes, comme le raisin ou les tomates, sont extrêmement traités dans l’agriculture intensive, préférez-les bios. Ainsi, vous pourrez les consommer crues, avec la peau. Fitnext recommande de manger au moins un fruit frais au petit déjeuner, pour faire le plein de vitamines. Une alternative intéressante peut être le jus de fruits ou jus détox, auquel la pomme s’intègre très bien. Mais attention, à réaliser à la centrifugeuse ! Celle-ci séparera la peau et les fibres du jus, ce qui donne directement l’eau, les minéraux et les vitamines du végétal en question.

pour vous faire plaisir. j’ai trouver une recette de la fameuse tarte au pomme sur Recette, 750g

Ingrédients (6 personnes)

  • 1 pâte brisée
  • 2 ou 3 pommes
  • 300g de compote de pommes
  • 20g de beurre
  • 2 c à s de sucre roux

Ps : Acheter les ingrédients frais !

Matériel

  • Couteau économe / Epluche-légumes / Eplucheur en Y
  • Four traditionnel
  • Moule à tarte

PRÉPARATION

ÉTAPE 1 : Foncez le moule

Préchauffez le four à 200°C.

Disposez la pâte brisée dans un moule à tarte et piquez le fond de tarte avec une fourchette.

Placez l’ensemble au frigo le temps que vous prépariez les pommes.

ÉTAPE 2 : Les pommes

Epluchez les pommes et coupez-les en tranches d’environ 3 mm d’épaisseur.

ÉTAPE 3 : La compote de pommes

Disposez une couche de compote de pommes sur le fond de tarte.

ÉTAPE 4 : Les pommes

Puis disposez les pommes en cercle sur le fond de tarte. Veillez à les disposer joliment.

ÉTAPE 5 : Le beurre

Ajoutez quelques noix de beurre sur les pommes.

ÉTAPE 6 : Le sucre roux

Saupoudrez les pommes de 2 c à s de sucre roux.

ÉTAPE 7 : La cuisson

Enfournez 30 minutes à 200°C.

Dégustez tiède ou froid, accompagnée d’une boule de glace vanille pour les plus gourmands.

Les goyaves

Qui n’a jamais bu un jus de goyave acheté au supermarché du coin ? La goyave peut aussi très bien se manger comme une pomme ! Le gout est juste un peu plus acide. Faites gaffe aux pépins ! Soyez prudent en achetant des goyaves, vérifiez qu’elles sont en bon état, car certaines d’entre elles peuvent cacher des hôtes indésirables …

Quels sont les bienfaits de la goyave ?

La goyave a la capacité d’exterminer les bactéries, les champignons et les amibes qui peuvent se trouver dans l’organisme. Les feuilles de cette plante sont utilisées pour aider à soigner les blessures. Elles ont aussi un grand pouvoir anesthésique au niveau dentaire, et c’est pour cela qu’on les utilise pour soulager grandement les maux de dents.

Les feuilles et l’écorce de l’arbre de goyave ou goyavier sont très efficaces pour préparer des infusions qui stopperont la diarrhée. Cela nous permettra aussi de soulager les maux de gorge, les vertiges, les envies de vomir et différents problèmes intestinaux. De même, cette préparation vous aidera à réguler notre menstruation.

Nombreux sont les bienfaits qu’apporte la goyave à notre santé !

En effet, elle possède une grande quantité de quercétine ! Ce puissant antioxydant a le pouvoir d’empêcher la formation de sorbitol. Le sorbitol est en fait le sucre qui est à l’origine de nuages blancs dans les yeux. C’est ce qu’on appelle la cataracte, une maladie dégénérative qui affecte tout particulièrement les personnes d’un âge avancé.

La goyave possède également de grandes quantités d’acide folique. Il s’agit d’une vitamine B qui nous aide à en finir avec la mauvaise haleine que peut provoquer la gingivite (la maladie des gencives). Cette plante est aussi recommandée pour les femmes enceintes, car elle peut prévenir les malformations du fœtus. Comme vous pouvez le lire, la goyave a un grand nombre de propriétés et de bienfaits pour notre santé. En plus, elle est délicieuse ! Lorsque le fruit est bien mûr, on peut préparer un merveilleux dessert : des bâtonnets de pâte de goyave

Si vous aimez pas manger le goyave frais voys pouvez essayer un confiture de goyave facile a faire

INGRÉDIENTS

  • 1 kg de goyaves Exotic fruit box
  • 500 g de sucre – si les goyaves sont mûres nous pouvons mettre moins de sucre
  • 500 ml d’eau
  • 1 bâton de cannelle
  • 1 cuillère à soupe de jus de citron

PAS À SUIVRE

  • Peler les goyaves.
  • Couper la goyave en deux et enlever les graines. Mettez-les dans une casserole et recouvrez-les d’eau. Ajouter le jus de citron et cuire à feu doux pendant environ 10 minutes.
  • Égoutter les graines en conservant tout le jus de la cuisson. Remettre le jus dans la casserole et ajouter les goyaves pelées avec le bâton de cannelle et le sucre. Si c’est nécessaire, nous pouvons ajouter un peu plus d’eau.
  • Laisser mijoter pendant environ 35 minutes à feu doux. Pendant ce temps, les goyaves deviendront une crème, et changeront de couleur, à orange au lieu de rose. Si c’est nécessaire, nous pouvons les écraser avec un batteur.

le riz, la base alimentaire malgache

Tous les malgaches mangent du riz. Ce n’est pas un stéréotype cela fait partie intégrante de notre culture. C’est notre aliment de base. Nous ne sommes pas les seuls à manger du riz à tous les repas. Les japonais, les Chinois et d’autres peuples du continent asiatique en consomment régulièrement. Cela nous fait déjà un point commun avec les pays avancés ! le riz offre une palette de recette à faire. Déjà il y a plusieurs moyens de le cultiver. Selon les pays, les régions ou l’environnement on peut par exemple le cultiver en escalier. Le riz aussi peut avoir plusieurs formes, tailles, couleurs et donc le riz a plusieurs « espèces » différentes. Et comme il y a différents types de riz, il y a aussi différentes manière de le cuisiner ! On peut les cuisiner de la manière classique en «  vary maina » ou en « vary sosoa ». C’est de ces manière qu’on le cuisine à Madagascar et avec on met généralement du « loka ». Dans la plupart des ménages malgaches se serait du « anana » (des cressons). Dans d’autres cultures, le riz peut se cuisiner en boulette en salade. Les japonais en font des « onigiris » ou même en riz gluant. Le riz est aussi une excellente matière première pour faire de l’alcool : c’est le « saké ». Le riz à cet effet est un aliment intéressant. On a coutume de dire que manger du riz fait de nous des malgaches. Les malgaches mangent du riz. Pourtant le riz n’est pas un aliment complet. Bien qu’il contienne en grande partie du glucide ce qui se prouve par le fait que le riz peut brûler ou plutôt qu’il peut roussir. Le problème est qu’il manque des sels minéraux dont le corps humain a besoin. De plus les vitamines sont quasi inexistantes. De ce fait, le riz ne suffit pas à rassasier et surtout suffire pour boucler une journée de travail. Pour cela les malgaches cuisinent en parallèle ce qu’ils appellent les « loka ». Ce sont justement des mets qui complètent le repas. Dans la majorité des cas on trouve peu de peu de protéine (viande) surtout des minéraux provenant notamment des végétaux. En tout cas, il est clair que ce n’est pas suffisant. Dans les autres pays consommant du riz. Les compléments sont en nombre et en quantité. Le Japon par exemple est le plus grand consommateur de poisson. Dans d’autre pays le riz est accompagné par plusieurs autres mets dans un même repas. Alors que devrait-on faire pour le cas de Madagascar.  Il est clair que nous ne pouvons pas changer notre base alimentaire pour d’autres aliments. Les pâtes ou les patates sont bien intéressant que le riz mais comme nous l’avons dit nous ne pouvons pas modifier une culture qui existe depuis des siècles. Par contre il existe des alternatives peu couteuses et très avantageuses pour les ménages malgaches. Comme des algues ou certains insectes qui sont très nourrissants.

la carambole de Madagascar

La carambole est un fruit exotique présent sur les étals toute l’année. Sa jolie forme étoilée, une fois découpée, en fait depuis longtemps un élément décoratif pour les assiettes. Mais elle est également délicieuse à consommer, et sa richesse en vitamines en fait un véritable concentré d’énergie. Si vous êtes déjà passée à l’Est de Madagascar, vous avez déjà vu des carambole sans le connaitre. Un peu comme si vous avez rencontré une star dans la rue sans le savoir Le carambole et doté d’une saveur juteuse et légèrement acidulée. Outre ses qualités gustatives ce fruit étoilé renferme des vitamines C, aussi appelée acide ascorbique, cette substance est réputée pour ses propriétés antifatigues. Elle stimule également la synthèse et régénération du collagène des os. De même, cette vitamine est indispensable à la jeunesse et à l’entretien de la peau. Manger du carambole ou tous autres agrumes est recommander pour réduire les impacts des radicaux libres sur l’épiderme. Mais aussi de la vitamine A, ce fruit en étoile contient une dose importante de vitamine A. Cette dernière est bénéfique pour la l’acuité visuelle nocturne. En effet, cette composante stimule le bon fonctionnement du pourpre rétinienne (cellules réceptrices de lumière). La vitamine A, a aussi des propriétés fondamentales dans l’équilibre de la balance œstrogène/progestérone. Ce sel minéral est présent dans la plupart des fruits comme la mangue ou les abricots. Il participe à la régulation du rythme cardiaque et de la tension artérielle. Le potassium facilite la contraction musculaire, la transmission de l’influx nerveux et le maintien de l’équilibre des lipides dans le sang. Le carambole ou fruit ninja est bien pourvu en fer. Cet oligo-élément d’origine végétale est primordial dans l’oxygénation de l’organisme et la synthèse de plusieurs macromolécules protéiques. Le carambole s’utilise depuis la nuit des temps en médecine traditionnelle asiatique pour remédier à la toux, fièvres et problèmes cutanés. Le jus de ce fruit étoilé est également indiqué afin de régulariser la glycémie des diabétiques. La Mutuelle famille rembourse le reste à charge des frais engagés pour traiter ces maladies. Je dois avouer que qu’il y a encore quelque mois, je n’avais encore gouté à la confiture de carambole. La première fois que les découverts, elle ma emballer visuellement. Toutes ces petites étoiles dans l’assiette, me poussaient sans réflexion aucune, à prendre une cuillère. Je vous men pas c’était acide grave ! mais la deuxième effet kiss cool, elle est aussi délicieuse qu’agréable à regarder ! Si vous n’aimez pas le coté acide du carambole, vous pouvez en faire de la confiture plus sucrer, en voici une recette que j’ai trouvé sur le site agir avec Madagascar http://agir.avec.madagascar.over-blog.com/2016/07/confiture-de-carambole.html Confiture de Carambole • Lavez soigneusement les caramboles. • Découpez en morceaux en enlevant le cœur des caramboles. • Pressez les citrons. Réservez le jus. • Mettez les morceaux de caramboles dans votre bassine à confiture, ajoutez le sucre et le jus des citrons. Mélangez bien les ingrédients. • Couvrez votre bassine à confiture et laissez macérer pendant 5 heures. • Au bout de 5 heures les caramboles doivent avoir rendu leur jus. • Mettez alors votre bassine à confiture sur le feu à feux moyen pendant 35 minutes en écumant de temps en temps. • Vérifiez la cuisson en versant quelques gouttes sur une assiette froide puis penchez l’assiette. La confiture doit couler doucement. • Facultatif : Avant la mise en pot, vous pouvez ajouter une gousse de vanille découpée en 5 ou 6 morceaux (autant que de pots). • Pour une meilleure conservation, mettre la confiture en pot lorsqu’elle est encore bouillante, fermer et retourner les pots jusqu’à ce qu’ils refroidissent. Alain Brecqueville

le canne a sucre de Madagascar

Canne à sucre

La canne à sucre est une grande graminée tropicale herbacée à port de roseau, d’une hauteur allant de 2,5 à 6 mètres3. Les tiges, d’un diamètre de 1,5 à 6 cm, sont pleines4. Les feuilles, alternes, sont réparties en deux files opposées et ont un limbe de 1 m de long environ sur 2 à 10 cm de large. Elles sont au nombre de dix sur les plantes en pleine croissance, la partie inférieure de la tige se dénudant au fur et à mesure que les feuilles basses se dessèchent. A Madagascar, c’est aussi l’espèce de canne de bouche la plus appréciée et classée parmi les cannes nobles grâce à    sa belle tige épaisse, tendre et fibreuse, riche en jus et en sucre.

L’origine probable de la canne à sucre est dans le Pacifique Sud et l’Asie du Sud Est. Après, la culture s’est étendue en Inde et vers d’autres continents.  D’après Autrey, 1988, les origines de la canne à sucre à Madagascar remonte, comme les îles des Mascareignes du 17è siècle.  Cette espèce est cultivée à travers la grande île comme en témoigne les nombreuses souches établies le long des routes et dans les arrières cours. La canne à sucre est aussi vendue dans les marchés comme canne de bouche alors qu’un « rhum » appelé toaka gasy est fabriqué sur une base artisanale dans la région de Fandriana à partir du jus de canne.

Pour ma part, j’aime la canne à sucre, c’était même notre friandise quand on était petit et ce n’est pas cher. Avec 500 ar tu peut t’en acheter un petit sachet, ce qui fait une branche de canne à sucre découper en morceaux. Parfois il est difficile de mâchée la canne à sucre si on n’a pas l’habitude, car la canne à sucre peut être dure ou moue, sa dépend.

Vous n’avez pas de dent ou que vous peur que vos dents se casse mais que vous avez envie de gouter, essayer directement le jus de canne à sucre. C’est une substance extrait directement de la brancha par une machine spécialiser pour, un peu comme une centrifugeuse. Le gout reste le même, a part que celui l’est déjà dans le verre. Le verre est eu 300 ar, d’autre vendeur propose de mettre un peu de gingembre ou du citron dans le jus. Je vous invite à gouter, c’est très bon. Mais quelle sont les vertus de la canne à sucre ? Un verre de jus de canne frais d’environ 100 millilitres vous apporte de la vitamine B1, B2, B3 mais aussi de la vitamine C en passant par le calcium et sans oublier le fer. On ne peut que constater que c’est une bonne dose d’énergie.

Ce qui est certain, c’est que le jus de canne est riche en saccharose. Il est d’ailleurs recommandé aux sportifs pour ses valeurs nutritives, stimulantes et énergétiques. Mais n’importe qui peut en consommer, pas la peine d’être sportif !

Les propriétés aphrodisiaques du jus de canne restent à vérifier. Le jus frais est également conseillé aux enfants pour lutter contre les vomissements liés à des crises d’acétone. Il est efficace contre les rhumes, maux de gorge et la grippe. Produit alcalin dans la nature, il permet aussi à l’organisme de lutter contre le cancer, en particulier la prostate et le cancer du sein. La canne à sucre est estimée à renforcer l’estomac, les reins, le cœur, les yeux, le cerveau ainsi que les organes sexuels.

la papaye dans toute sa splandeurs

Dans certains pays tropicaux, il est très fréquent de trouver des papayers absolument partout. Ces arbres sont très faciles à entretenir et produisent des fruits exceptionnels.

La papaye est un moyen de défense très puissant contre le cancer, et c’est un fruit qui contient de nombreux effets curatifs. Auparavant, elle n’était qu’un fruit parmi les autres. Mais, depuis quelques temps, tous ses incroyables bienfaits ont été découverts.La papaye contient une enzyme appelée papaïne. Cette substance chimique est très similaire aux enzymes du pancréas, qui permettent de digérer les protéines.

Les enzymes digestives de protéines (appelées également enzymes protéolytiques) ont la capacité de dissoudre la couche de protéine qui se forme autour des cellules cancéreuses. Cela aide le système immunitaire à les détruire plus facilement. Une autre enzyme présente dans la papaye est la chymopapaïne. Ces deux substances chimiques permettent de mieux profiter des bienfaits des protéines qui se trouvent naturellement dans certains aliments.

Les enzymes protéolytiques permettent de détruire les boucliers de défense des virus, des tumeurs, des allergènes, des levures et de tous les types de champignons. Une fois qu’ils sont détruits, il sera plus facile de nettoyer notre organisme.La papaïne aide également à réduire les inflammations et à apaiser les brûlures, ainsi qu’à réduire les cicatrices de la peau. La papaye accélère le processus de guérison de manière spectaculaire.

La couleur rose orangée de la papaye se doit à la présence de caroténoïdes dans sa composition, en particulier de bêtacarotènes et de lycopènes.Ce sont deux antioxydants très puissants, dont l’efficacité pour lutter contre le cancer a été reconnue. Le lycopène permet de réduire le risque de souffrir d’un cancer de la prostate. Cette substance chimique entraîne la mort des cellules cancérigènes, augmente l’activité anti-métastatique et renforce les enzymes protectrices. Une étude réalisée en Chine, a permis de découvrir que la consommation d’aliments riches en lycopène et en thé vert protègent du cancer de la prostate.

L’isothiocyanate est un autre composant de la papaye. Il a démontré son efficacité dans l’inhibition de la formation et du développement des cellules cancérigènes. Des expérimentations réalisées sur des animaux ont permis de démontrer l’efficacité des isothiocyanates contre les cancers du sein, du poumon, du côlon, du pancréas, de la prostate et contre la leucémie.

Les papayes sont riches en nutriments, en antioxydants, en carotènes, en vitamines C, E et A, ainsi qu’en flavonoïdes. Elles contiennent également des vitamines B, de l’acide folique, de l’acide pantothénique et des minéraux comme le potassium et le magnésium. Tous ces éléments permettent de favoriser un système cardiovasculaire sain, de protéger des infections récurrentes de l’oreille, et d’immuniser le corps contre les rhumes et la grippe. Les papayes sont riches en fibres, ce qui permet de réduire les niveaux de cholestérol. Les fibres permettent également de faciliter la digestion des toxines qui causent le cancer du côlon.

Les graines de papaye peuvent être encore plus bienfaisantes que le fruit lui-même. Elles ont une saveur très piquante, et très amère, des caractéristiques qui peuvent les rendre difficiles à consommer. Mais, malgré cela, leur valeur médicinale est très importante. Parmi leurs bienfaits, on distingue :

  • Des propriétés antibactériennes qui les rendent efficaces pour lutter contre l’E.coli, la salmonelle et les staphylocoques.
  • Une protection idéale des reins contre l’insuffisance provoquée par des toxines.
  • Une meilleure élimination des parasites intestinaux.
  • Une excellente désintoxication du foie.

La papaye est un fruit qu’il vaut la peine d’inscrire au menu de son régime quotidien. L’idéal est d’en manger au moins une fois par semaine. Sa délicieuse saveur peut s’intégrer facilement à de nombreuses recettes, dans des salades, des desserts, des yaourts, etc. Elle se marie bien avec du citron et du piment par exemple.

le litchi

  • Manger des litchis c’est qu’on fait de mieux au mois de décembre. Nous avons besoin de nos 5 fruits et légumes par jour. Avec la chaleur étouffante de ce mois-ci, les litchis c’est le top. Pour pas cher on peut avoir assez de dessert pour combler notre petit estomac. Pourtant j’ai l’impression que ça ne fait pas que du bien. Déjà je ne comprends pas  pourquoi on ne doit pas en prendre trop la première fois. Les choses bonnes pour la santé ça se consomme sans modération non ? Je suis convaincu que personne ne vous a jamais dit « ne bois pas trop d’eau parce que c’est la première fois que tu en bois cette année » Je ne vous dis pas qu’il ne faut pas acheter du litchi mais je trouve ça juste un peu compliqué. Sinon c’est toujours bien, les litchis. Quand on est avec du monde on peut comparer les noyaux pour voir qui a eu le plus petit. On pourrait même faire un challenge sur le net juste sur ce thème. Mais ça c’est une autre histoire. Ce que je ne supporte pas en revanche ce n’est pas les litchis mais plutôt les gens qui en mangent. C’est vrai ça ! Déjà quand on mange quelque chose en public il y a des règles à respecter. La propreté ce n’est pas pour les chiens ! Nous sommes là à en manger et à cracher les noyaux directement par terre. Il n’y a plus de respect, franchement ! Ce n’est pourtant pas difficile de remettre les déchets dans le sachet après avoir tout manger non ? Les litchis c’est bon, c’est bien ne les rendons pas nuisible. Après je trouve que ce n’est pas assez exploité. Après tout, les matières premières il faut les transformer pour qu’elles acquièrent plus de valeur. En ce qui concerne la transformation je trouve qu’il y a des choses à faire : du jus, du gâteau, de la glace. Je vous laisse le soin d’imaginer la meilleure chose à faire. Mais pourquoi un tel amour du litchi me demanderez-vous. Je vous répondrais que « bon à s’en léché les doigts ». Rassurez-vous je ne vais pas vous vendre du KFC mais vu les sourires avec lesquels les malgaches avalent les tonnes de litchi par jour. Ce serait peut être une bonne idée de créer un genre de salon de litchi ou de fruit en générale. Car ne l’oublions pas le mois de décembre n’est pas fait que par des litchis. Il y a les mangues et les pêches qui sont aussi d’excellent fruit. Je ne vais pas m’attarder plus longtemps sur ces fruits mais en tout cas les litchis sont comme un vent de fraicheur pour les malgaches. Je suis certains qu’il n’y a pas qu’à Madagascar que ce fruit cartonne. En tout cas ce que je peux dire c’est que qu’ils ont encore un avenir devant eux et qu’ils ne sont pas prêt de disparaître. Madagascar est aussi reconnue pour ces fruits alors faisons en sorte qu’on en soit fier.

Les nems de Basil, les lifous d’andohalo

Quoi qu’on puisse dire les marchands de rues sont partout à Madagascar. C’est d’autant plus flagrant dans la capitale. Dès que l’on sort de chez soi on peut en voir. Des marchands de vêtements, d’article en tout genre et surtout de la nourriture. La multiplication des marchands de rues est la preuve évidente de la régression de l’économie ; l’économie souterraine est un fléau pour le développement. Pourtant que seront nous sans ses marchands de rues ? Après tout nous pouvons y acheter à moindre prix, négocier et surtout je suis certain que la plupart d’entre vous se procure les mets sur des marchés pas forcément dans les normes. Comment en vouloir aux gens de chercher de quoi nourrir leurs familles. Après c’est ce que nous faisons tous, tous les jours. Il faut le dire aussi les marchands de rues sont souvent peu convaincant. En premier lieu, il y a le problème de la propreté. Les produits sont vendus dans la rue parfois à même le sol et nous savons tous à quel point la propreté de notre ville laisse à désirer. De plus l’air d’Antananarivo n’est pas de première qualité et cela peut avoir des conséquences néfastes sur les aliments cuits. Tout cela induits forcément à des problèmes sanitaires. Parce que la saleté est un vecteur de la propagation des maladies. Nous sommes en plein dilemme car nous savons que nous ne pouvons pas supprimer la vente de rue. Encore plus terrible c’est que ces activités polluent notre ville et cette même pollution qui nuit aux activités de vente. Déchets organiques, sachets plastiques,… c’est ce qui remplit la capitale de la grande île. Mais ce n’est pas pour cela qu’on doit mettre tout le monde dans le même panier. Nous avons des marchands qui deviennent très connus partout à Antananarivo. Les nems de Basil, les lifous d’andohalo et j’en passe. Nous ne sommes certes pas à une étoile près des grands restaurateurs mais le plaisir y est et c’est déjà bien. On parle souvent sur cette page de sakafo malagasy mais les marchands de rues sont tellement présents que l’on ne peut pas parler de « sakafo » sans en toucher un mot. Que ce soit pendant les fêtes ou dans la vie quotidienne, la plupart des malgaches consomment régulièrement des aliments venant de ces marchands de rues. Finalement, comment peut-on les classer parce qu’ils prennent certes beaucoup de place dans nos quotidien mais pas autant que les marchand fixes de restauration qui sont parfois aussi sujet à débat. Quoi qu’il en soit ces marchands de rues seront là pour encore beaucoup de temps. Tant que notre beau pays sera encore dans la même situation qu’aujourd’hui. Beaucoup de nouveaux qui veulent avoir leur place dans la restauration préfèrent servir des plats qui sont soit dans les normes mais de tendance occidentale soit des plats sur le pouce qui donnent parfois mal aux ventres. Personnellement, je crois qu’il y a encore beaucoup à faire dans ce domaine et qu’il ne tient qu’à nous d’en améliorer l’état.